Regarding Syria, the questions we are getting seem to fit three general themes. We'll try to address each one here, but we also recommend you watch the video below, "Q&A with Rick George on Suncor in Syria" if you haven't already. You can also read our initial post on our business in Syria as well as review all of our posts about our business in Syria.
1. How could Suncor possibly keep working in Syria? Why don't you make a statement against the Syrian government and leave the country?
We don't think it's that simple. First and foremost, we aren't going to make any political statement that could put our people at risk -- and that includes our Syrian national employees.
Those same people are one of the reasons we'd prefer not to cease operations and leave. People remain a strong factor in this complex situation. It's not just a matter of bringing a few expatriates home and calling it a day, as some may think.
Obviously, there are other reasons as well, including our original investment and contractual obligations. But these too, have a people dimension. The natural gas we extract is used to generate power for the Syrian people and we have local employees whose livelihood depends on our presence there.
2. I heard Suncor is trying to say it doesn't have a relationship with the Assad government. How can that be?
We work with a state-owned company called the General Petroleum Corporation (GPC). While Suncor shares a working interest in the Ebla gas project with this company, this isn’t to say that we have a direct relationship with the Syrian government.
That's why, when it comes to raising our concerns about the current situation, we have done so through GPC. We believe that's our best means of influence.
3. Do you or do you not pay money to the Syrian government?
As Rick George, our president and chief executive officer says in the video below, our original investment of about $1.2 billion was complete in 2010. Since the spring of 2010, we've been spending small amounts of money on operations for things like safety, maintenance, and good oilfield practices.
The Syrian government actually pays us for cost recovery of our initial investment and for our share of the natural gas profits each month.
Quelques questions difficiles à répondre
En ce qui concerne la Syrie, les questions qui nous sont posées semblent tourner autour de trois thèmes généraux. Nous tenterons de répondre à chacune d’elle mais nous vous invitons à regarder la vidéo ci-dessous, « Rick George répond à quelques questions » si ce n’est déjà fait.
1. Comment Suncor peut-elle poursuivre ses activités en Syrie? Pourquoi ne pas faire une déclaration contre le gouvernement de la Syrie et quitter le pays?
Ce n’est pas aussi simple. Premièrement, nous ne ferons aucune déclaration politique qui pourrait mettre les gens en danger, incluant nos employés syriens.
Ces gens sont l’une des raisons pour laquelle nous préférons ne pas mettre fin à nos activités et quitter le pays. Les gens demeurent un élément solide dans cette situation complexe. Il ne s’agit pas seulement de rapatrier quelques expatriés et de mettre la clé dans la porte, selon ce que certaines personnes pourraient croire.
Visiblement, il y a d’autres raisons, incluant nos investissements initiaux et nos obligations contractuelles qui comportent également une dimension humaine. Le gaz naturel que nous extrayons sert à fournir de l’électricité au peuple syrien. Par ailleurs, nous avons des employés locaux dont la subsistance dépend de notre présence là-bas.
2. J’ai entendu dire que Suncor essaie de dire qu’elle n’a aucune relation avec le gouvernement Assad. Comment est-ce possible?
Nous travaillons avec une société d’état appelée General Petroleum Corporation (GPC). Bien que Suncor partage une participation directe dans le projet gazier Ebla avec cette société, cela ne signifie pas que nous avons des liens directs avec le gouvernement syrien.
C’est pourquoi, lorsque nous avons soulevé des préoccupations face à la situation actuelle, nous l’avons fait auprès de GPC. Nous croyons que c’est notre meilleure façon d’avoir une certaine influence.
3. Est-ce que vous versez ou non de l’argent au gouvernement syrien?
Comme Rick George, notre président et chef de la direction le mentionne dans la vidéo ci-dessous, notre investissement initial d’environ 1,2 milliard de dollars a été réalisé en 2010. Depuis le printemps 2010, nous avons dépensé quelques sommes pour nos activités reliées aux opérations, notamment pour la sécurité, la maintenance et les pratiques généralement reconnues pour les champs pétrolifères.
En réalité, le gouvernement syrien nous paie pour la récupération de nos coûts et notre investissement initial et pour notre part des profits tirés du gaz naturel chaque mois.
Update: Links to Syrian-related posts added at 5:41 pm EDT on September 2, 2011